La bonne aventure

Il était une fois un monde d’ondes, d’ondes positives. Fils et antennes entremêlés.
Les oiseaux se posaient sur les antennes, les enfants étaient au bout du fil.
Rien ne faisait écran. l’oiseau apprenait à l’enfant à siffler. L’enfant apprenait à l’oiseau à rêver.
C’était un programme sans chaîne, et sans clavier.
Sans clavier pas tout à fait, il y avait la petite pianiste du deuxième, dont le père était réparateur de toits, de paratonnerres, de cumulus ou de nimbus .
Les nuages n’étaient pas des « clouds », les oiseaux savaient leur temps d’antenne illimité.
Parabole? Fable?
Une petite armée de bouts de fer, cherchaient, guettant le ciel, la bonne aventure de tous les étages.

Phil G et compagnie

07/02/2023